17 janvier 2014
Au cadran de l'horloge
Dès que sonne minuit soudain je me réveille
Sur cadran de ma vie s’arrête mon sommeil
Je me lève d’un pas sûr regard à la fenêtre
Ténèbres en clair-obscur me baignent de bien-être
Les heures mollement passent dans les ruelles désertes
Là-haut lune se prélasse en cratères inertes
S’éteignent les réverbères lorsque la nuit s’absente
Diffusant la lumière d’aube évanescente
Edith Urbaniak
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