5 mars 2014
Balade campagnarde
Sur la robe de l’aube la route se dessine
La nature m’enrobe d’une douceur coquine
Mon quatre-roues m’emporte sur chemins de bohème
Vitre ouverte m’apporte ma dose d’oxygène
Dans une paix retrouvée s’extasie mon regard
Prêt à s’illuminer sur vestige d’un rempart
Défile dans le lointain campagne mi éveillée
Dans son voile de satin lune s’en va se coucher
Edith Urbaniak
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