7 avril 2014
Le phalène endormi
Tu me regardes mon ange de ton regard joyeux
Puis écartes ma frange s’illuminent mes yeux
Douce m’est ta présence dans la chambre obscurcie
Calmant mes impatientes dans les vagues du grand lit
Nous enrobent nos rêves en ambiance feutrée
Les émotions m’enlèvent sous flots de tes baisers
Fuit la lumière du jour aux caresses de la nuit
Sur le grand abat-jour phalène s’est endormi
Edith Urbaniak
Belle semaine à toutes et tous
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